Les textes de Jacques Fabre
 

Biographie abrégée

Je suis né le 28 avril 1944, dans le dix-huitième arrondissement de Paris, très précisément à la maternité de l'hôpital Bichat. Ma famille habitait Asnières, et c'était l'hôpital le plus proche de notre domicile.          

C'est moi, à l'âge d'un an environ. Je n'ai pas de photo plus ancienne...         

C'est moi, à l'âge d'un an environ. Je n'ai pas de photo plus ancienne...

Avant moi, quatre filles et trois garçons étaient, selon la formule, venus bénir l'union de mes parents (qui se seraient fort bien passés de cette générosité du ciel...). Mon arrivée en ce monde réalisait donc l'équilibre des sexes dans la fratrie, et mon père en fut sans doute vaguement consolé de ses paternités multiples, qui  annonçait, paraît-il, avec une certaine alacrité : "Quatre partout ! quatre partout              

(Par ordre décroissant : Christiane, Monique, Gérard, Claudine, Françoise, Jean-Pierre et Christian... ne me cherchez pas, je ne suis pas sur la photo : j'étais trop petit...)

        
 

     Ma scolarité primaire s'est déroulée aux groupes Aulagnier, à Asnières, et des Grésillons, à GennevilliersDes résultats scolaire assez bons, mais sans plus, m'ont mené au collège (alors cours complémentaire) Voltaire d'Asnières, jusqu'en 3e. Puis j'ai suivi pendant trois ans l'enseignement de l'Ecole commerciale de Jeunes Gens de la Chambre de Commerce de Paris, rue Armand Moisant à Paris 15e. Diplôme commercial et baccalauréat en poche, j'ai pris le chemin de la Faculté de Droit et de Sciences Economiques qui venait de s'ouvrir rue d'Assas. Dans les plâtres à peine secs - et dans une ambiance non encore totalement polluée par les groupes d'extrême-droite - j'y ai suivi les cours de maîtrise de 1963 à 1967.

A l'appel de la France, j'ai servi en 1968 et 1969 en Ethiopie au titre de la coopération culturelle. Affecté en qualité de professeur de français au collège Notre-Dame  à Dirré-Daoua (Province du Harrar), je suis sans doute un des rares jeunes Français a avoir effectué son service national chez les bonnes soeurs... Cette période a été pour moi extrêmement agréable et riches d'enseignements, dans tous les sens du terme.

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  A l'école primaire, en 1951. De gauche à droite : moi, mes frères Christian et Jean-Pierre

Ce qui m'intéresse...

Musique - Mon intérêt pour la musique s'est manifesté très tôt... Je le dois sans doute à ma mère qui adorait chanter. Elle avait fait son apprentissage dans la couture. A cette époque, paraît-il, on chantait les succès à la mode à longueur de journée, dans les ateliers des maisons de couture. Mon père jouait parfois du banjo ; le dimanche, il lui arrivait de sortir de l'armoire un gros dossier plein de "petits bleus", ces feuillets qu'on vendait dans les rues, et sur lesquels figuraient paroles et musique des chansons. Vers l'âge de six ans, j'ai gagné un concours de chansons, en interprétant (avec les gestes...), "Un grand cerf dans la maison". Plus tard, je suis entré dans une chorale : les Petits Chanteurs de l'Ile-de-France (voir Biographie abrégée). J'y suis resté jusqu'à l'âge du service national (que j'ai effectué à 24 ans, comme coopérant culturel en Ethiophie... mais je reviendrai là-dessus). Ceci m'amène tout naturellement à la rubrique "voyages" (merveilleux enchaînement, n'est-ce pas ?)

Voyages - Mes premiers voyages importants, à l'étranger, je les ai faits avec la chorale des Petits Chanteurs de l'Ile-de-France. L'Europe, d'abord : la Belgique, le Luxembourg, l'Angleterre, l'Allemagne... Puis, en 1957, ce fut Le Grand Voyage : l'Amérique ! Deux mois au Canada, dans la province de Québec, puis un mois aux Etats-Unis : New York. Tels des pionniers, nous avons effectué la traversée en bateau, sur l'Ivernia, à l'aller, et sur le Queen Mary, au retour. Merveilleuse découverte, si elle n'avait pas été gâchée par cette fichue grippe asiatique qui sévissait là-bas, et qui m'a retenu, ainsi que la plupart de mes camarades, pendant une semaine à l'Hôpital Français de New York ; de plus, l'annulation des concerts prévus a mis la chorale dans une douloureuse banqueroute, dont elle a mis plusieurs années à se relever.

Plus tard, au cours de ma vie professionnelle, j'ai eu l'occasion de visiter bien des pays, sur quatre continents... J'ai posé mes pieds (quelquefois brièvement, au cours d'une escale) dans une cinquantaine de pays... Ce qui explique (encore un enchaînement bien commode !) l'importance de mon stock de photos, dont je parle au paragraphe suivant : Photographie

 Photographie - Depuis l'âge de seize ans, je prends des photographies. De la boîte à savon au numérique, en passant par un 6X6 Voigtländer, une Rétinette I B Kodak, un Nikkormat , etc. J'ai aujourd'hui un Pentax et un petit Canon, en version argentique, et un Ixus 400 numérique. J'ai plusieurs cartons de photos argentiques, de négatifs et de diapositives. Comme on dit : "quand je serai à la retraite, faudra que je classe tout ça...

 



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